Le camps du sud-est

Dans le noir, il semblait règner une humidité ambiante. Il faisait froid. Soudain la lumière, elle brulait les yeux qui s'étaient habitués à l'obscurité. Enchainé à un mur, dans ce qui semblait être une grotte, Honoka et yahagane reprenait progressivement connaissance. On les avait privés de leurs armes, une torche éclairait la scène d'une lueur sinistre. Une odeur de sang frais prenait à la gorge.

Honoka fut le premier à reprendre connaissance, il essaya d'abord de se débattre, mais il était attaché à un long poteau en bois. Il tenta vainement de bouger le morceau de bois mais rien à faire, il était privé de mouvements. Il interpella alors Yahagane.

Yahagane-san ! Réveillez vous ! Je crois qu'on nous observe !

Il ne répondit pas de suite, mais se réveilla également en sursaut après quelques autres appels effrayés de Honoka.

Yahagane se réveilla brusquement et regarda Honoka effrayé

Que c'est-il passé ? Où somme nous ? Où sont passé Onko et Hotori ?

Mais se sont des question sans réponse. Yahagane tenta de se débattre aussi mais il n'arriva point.

Honoka voyant que Yahagane se réveille, arrêta de se débattre.

C'est sans espoir...A moins que ! ...

Il avait négligé la présence d'une épingle qui tenait son haut de kimono. Il arriva donc après plusieurs essais (il avait les bras liés également) à prendre l'épingle dans une de ses mains et après un bon bout de temps, à se délivrer un bras puis l'autre. Il arriva enfin à délier tout ses membres des cordes.

Enfin libre !

Yahagane le regardait toujours en se débattant et Honoka se dépêcha de délivrer son compagnon. Puis, tout deux enfin libres il lança :

Qu'allons nous faire maintenant ?

Depusi le fond de la grotte où ils étaient attachés, comme un bruit de conversation leur vint aux oreilles.

Le maître .... ces nouveaux .... promotion.... satanés Lion.... ils ne pouvait entendre que certains mots parce qu'ils n'étaient pas à côté de la source de ce bruit.

Honoka fut le premier à réagir

Vite ! Cachons nous ! chuchota-t-il à Yahagane qui se reprenait usage de ses membres.

Ils se cachèrent à l'opposé de la conversation qu'ils avaient entendu, dans un coin sombre.

Yahagane enfin libre remercia Honoka et le suivi.

Savez-vous qui sont c'est gens ? Chuchota Yahagane a Honoka

Honoka ouvra grand ses oreilles et analysa le langage des brigands qui discutaient au fond de la grotte.

[HJ] Je fais un jet Monde du crime pour savoir d'où viennent ces brigands [/HJ]

Honoka n'était pas assez près pour bien discerner tout ce qui se disait, il ne put reconnaitre d'ou venaient les brigands qui les embarquèrent mais ce qu'il sut c'est qu'ils ne venait pas de ces terres et avaient des accents différents. Les voix semblaient se trouver près d'une légère source de lumière, mais les deux compères n'étaient pas assez proches pour distinguer quoi que ce fut.

Honoka chuchota à Yahagane

Devons-nous nous approcher ? Je suis assez discret pour ma part, mais qu'en est-il de vous ?

Yahagane très surpris de cette question regarda Honoka bizarrement

Bien sur que je le suis ! Je suis pas Chasseur de Prime pour rien !

Honoka se rappelant maintenant que son compagnon de route était en effet un chasseur de primes, il supposa qu'il savait assommer.

Allons-y, préparez vous à assommer l'un des deux. Je m'occuperai de l'autre brigand.

Honoka entama sa marche silencieuse dont il en avait le secret, Yahagane le suivait. Ils étaient à quelques mètres des deux brigands, Honoka pouvait apercevoir une sortie au fond de la pièce où étaient les brigands. Il ne voyait par contre personne d'autre dans la pièce.

Il se tourna vers Yahagane et lui chuchota :

Donnez moi le signal

Il se préparait alors à assomer l'un des deux personnages au signal de son coéquipier.

Les deux compères s'approchèrent des deux gardes sans que ceux-ci ne puisse déceler leur présence, se fondant dans leurs ombres. Les deux gardes se tenait à l'entrée de la grotte, en face il pouvait discerner un campement de fortune avec une dizaine de guerriers autour d'un feu de camps, les rires allaient bon train, et il y avait relativement beaucoup de bruit, couvrant ainsi leur progression.

[HJ] Les gardes possèdent chacun un katana [HJ]